Gomboyah, Coyah – Ibrahima Wareah est un jeune Guinéen engagé dans le domaine de la santé. Il affirme avoir mis au point des méthodes innovantes capables de traiter des maladies graves telles que le diabète et le VIH/SIDA. Sa clinique est implantée à Gomboyah, dans la nouvelle commune de Manéah (préfecture de Coyah). Hier, la rédaction de Referenceguinee.com l’a rencontré pour en savoir davantage sur son approche.

 

Interrogé sur sa méthode, Ibrahima explique s’être inspiré des combinaisons d’insuline utilisées en médecine conventionnelle. Il a mené des recherches personnelles durant deux mois à l’intérieur du pays et affirme avoir obtenu des résultats encourageants.

 

« Deux personnes ont testé mon produit. Après un mois de traitement, elles ont confirmé aller mieux. Elles n’ont signalé aucun effet indésirable jusqu’à présent. »

Il précise que son traitement vise à éliminer la dépendance à l’insuline et aux comprimés.

 

« Avec les traitements classiques, dès qu’on arrête l’insuline, les symptômes réapparaissent. Ce que je propose, c’est une solution durable. Ceux à qui j’ai donné le produit me disent que tout va bien. »

 

Contrairement aux pratiques courantes, Ibrahima ne demande pas un paiement immédiat. Il propose un engagement mutuel, basé sur les résultats :

« Ce n’est pas l’argent que je mets au-devant de l’humanité. Nous signons un pacte. Si la personne guérit, elle me paie le montant convenu. »

 

Concernant le VIH/SIDA, Ibrahima se montre tout aussi confiant. Il reconnaît toutefois que certains obstacles freinent la guérison de certains patients.

 

« Ceux qui ne guérissent pas sont généralement ceux qui ne respectent pas les consignes médicales, comme l’usage du préservatif ou la durée du traitement. La discipline est essentielle. »

 

Selon lui, le traitement du VIH varie en fonction de l’état du patient et de la phase de la maladie :

 

« Si le virus vient d’entrer dans l’organisme, il est plus facile à traiter. Dans ce cas, 3 à 4 mois peuvent suffire. Mais si la maladie est avancée, cela peut prendre un an ou plus. »

 

Il évoque aussi l’influence du groupe sanguin dans la réceptivité au traitement :

 

« J’ai eu un patient de groupe AB+ qu’il a fallu traiter pendant un an avant qu’il ne soit totalement guéri. »

Ibrahima distingue deux stades dans l’évolution du virus :

« D’abord, il y a ce que j’appelle le stade AIDS. Quand ça évolue, on parle de VIH. Plus la maladie est ancienne, plus le traitement est long. Quiconque vous dit qu’il soigne le VIH en un ou deux mois ne dit pas la vérité. »

Eugène Capi Balamou, pour Referenceguinee.com

 

Pour toutes informations, appellez Dr. Ibrahima Wareah au niveau suivant :

+(224) 610-06-51-67